Une soupe de fœtus humain
Elodie
il y a 9 ans
Nous sommes là à un niveau plus élevé dans le mystère de la cuisine exotique. C’est volontairement que nous évitons d’utiliser les termes « barbarie » et « atrocité », car nous ne faisons pas l’ethnocentrisme ! Chaque culture, chaque nation, chaque peuple possèdent sa culture culinaire, son mode alimentaire combien même certaines habitudes peuvent paraître déroutante et inacceptable à nous Occidentaux.
© huffingtonpost
Une spécialité de la ville de Shenzhen en Chine
C’est là que vous trouverez cette soupe surprenante que sans doute vous accepterez de déguster après un long moment de réflexion et d’hésitation. On vous rassure tout de suite : il s’agit de fœtus morts à la suite d’avortements. Si vous consentez à sauter la barrière du fossé culturel dans l’assiette, cela ne ferez donc pas de vous des assassins. D’après les rumeurs, les premiers à avoir consommé cette « viande » atypique ce sont les médecins des hôpitaux de la ville qui les ramenaient chez eux après avoir pratiqué des avortements à des patientes. Car les fœtus sont réputés être nutritionnellement riches, gorgés de protéines et assurent bonne santé, bonne performance sexuelle et même une belle peau. Leurs apports nutritionnels seraient même plus élevés que ceux du placenta ! Pourquoi ainsi s’en priver alors que l’on en a à disposition ? La mode est alors lancée !Des vertus thérapeutiques
Parce que leur valeur nutritionnelle est élevée, les fœtus peuvent soigner certaines maladies s’ils sont consommés régulièrement. L’asthme fait partie de ces pathologies auquel on vient à bout grâce à une consommation récurrente de fœtus. Pour s’assurer d’avoir des fœtus qui ne sont pas infectés par des maladies, les consommateurs les achètent dans les hôpitaux d’État. Les recettes sont nombreuses. On peut par exemple les associer à du gingembre ainsi que des fleurs d’oranger et de ciboulette, le tout baignant dans un potage à base de porc. La consommation de fœtus humain est prévue par la médecine traditionnelle chinoise bien que les autorités ait officiellement interdit la pratique. Le poids de la tradition est plus fort !Commentaires
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elodie costa
22 novembre 2021 à 13h07
cé tro bon; miame. alé vouar mon nouvo klype il é supair. é le fétusse été délissyeu