Une étude à la base de cette affirmation

L'Afrique du Sud, le Brésil, l'Australie, les Philippines, les Etats-Unis, le Ghana, le Royaume-Uni  et l'Inde font partie des pays qui ont participé à l’enquête. L’étude a été réalisée dans le cadre d’une étude, baptisée Grow, analysant les impacts sur les habitudes alimentaires de la flambée des prix dans le secteur de l’alimentation. Elle a été réalisée sur un échantillon de 16 000 personnes, chacune devant indiquée son aliment préféré.

L’étude a donné lieu au classement suivant (par ordre de préférence)

1)les pâtes (9%),
2)la viande (6%),
3)le riz (5%),
4)la pizza (5%),
5)le poulet (4%),
6)le poisson et les crustacés (3%),
7)les légumes (3%),
8)la nourriture chinoise (2%),
9)la nourriture italienne (2%),
10)la nourriture mexicaine (2%).

Modification des habitudes de consommation

Le rapport démontre ainsi que depuis le début de la crise alimentaire il y a deux ans,  plus de 50 % des enquêtés consomment d’autres aliments que ceux qu’ils avaient l’habitude de prendre  deux ans auparavant. Les deux raisons principales sont liées au coût élevé de ces produits ou aux menaces de plus en plus flagrantes sur leur santé.   Ainsi, 76 % des sondés vivant au Kenya avoue avoir été contraints de modifier leurs habitudes alimentaires à cause de l’inflation. En revanche, aux Etats-Unis, 55% des enquêtés déclarent avoir été motivés par des préoccupations de santé. La même explication prévaut en Inde. Par ailleurs, les Indiens, les Espagnols et les Mexicains sont de plus en plus friands de pizza et de cuisine chinoise. Parallèlement, les Australiens penchent majoritairement pour le chocolat. Enfin, il s’avère que les Vénézuéliens sont de gros consommateurs de pâtes avec 12kg par tête par an.

Pour nous, une seule conclusion : Les franchises de restaurants italiens et asiatiques peuvent se permettre de voir l'avenir en rose !