La très célèbre revue Nature reprend cette conclusion en éditant leurs résultats. Le sushi est une préparation traditionnelle japonaise.


Les occidentaux pensent qu’il s’agit d’un plat de poisson, alors qu’il est un plat de riz préparé avec du vinaigre de riz et accompagné d’autres ingrédients, dont les morceaux de poissons. Le sushi est ensuite enveloppé d’une algue rouge : la porphyra. Il en est ainsi au Japon dans les restaurants bourgeois et les bars à sushis où les plats de couleurs différentes suivant les prix défilent autour de la table. Il est possible de retrouver ce savoir-faire japonais et cette ambiance dans les chaînes de restaurants japonais des quartiers français, tels que Matsuri, Sushi Cho Et Yakitori, Planet Sushi, Sushiwest ou encore eat' sushi qui représentent la cuisine japonaise.

Il s’avère que depuis des siècles, toutes les générations de japonais en sont de fervents consommateurs, et de ce fait ils auraient incorporé, puis retransmis à leurs descendants, certains gènes de bactéries marines, qui se seraient mariés à la flore intestinale.


Cette nouvelle activité des enzymes japonaises permettrait de digérer les sucres de cette algue rouge porphyra. Ces enzymes sont présentes de manière étonnante dans la communauté japonaise, en s’adaptant naturellement à ce comportement nutritionnel spécifique. Cette alimentation est réputée favorable pour la santé grâce au riz, faible en calories, et grâce aux poissons dits gras, riches en oméga 3.