Des légumes du potager dans vos burgers Steak’n Shake
Elodie
il y a 4 ans
Le Potager de Sardar Biglari est une mine d’or pour Steak’n Shake.
© Steak 'n Shake France - Facebook
Sardar Biglari, le propriétaire de Steak’n Shake, a créé un
potager à Pampelonne (presqu’île de Saint-Tropez ; commune de Ramatuelle). C’est
dans cette exploitation agricole que ses établissements viendront s’approvisionner
en légumes et fruits. C’est tout simplement une initiative admirable, louable
et à imiter !
L’une des spécificités de cette nourriture est qu’elle contient des légumes que la chaîne cultive elle-même. Ce potager fait partie de ce que l’on appelle l’agriculture locavore. Grâce à lui, les clients de la chaîne dégusteront des burgers garnis de produits locaux que l’équipe travaille pendant qu’ils sont encore tout frais.
Elle gère tout de A à Z, de la préparation du sol à la vente en circuit court, en passant par l’irrigation des cultures. Pour ce faire, elle s’est entourée d’agriculteurs locaux. Dernier point, et non des moins, c’est une agriculture raisonnée, respectueuse de la nature et de l’environnement, qui est déployée au sein du Potager de Sardar Biglari.
Spécificités et objectifs
Ici, les récoltes donnent des légumes exceptionnels. Quant aux cultures, elles sont mises en œuvre selon un mot d’ordre clair et précis : autant que possible, tout doit se faire de façon naturelle (intrants bio, eaux de pluie…). L’existant de ce potager permettra à l’enseigne de réaliser un de ses objectifs : servir à ses clients une nourriture durable, savoureuse de surcroît.L’une des spécificités de cette nourriture est qu’elle contient des légumes que la chaîne cultive elle-même. Ce potager fait partie de ce que l’on appelle l’agriculture locavore. Grâce à lui, les clients de la chaîne dégusteront des burgers garnis de produits locaux que l’équipe travaille pendant qu’ils sont encore tout frais.
Un travail de longue haleine
Steak’n Shake n’a pas souhaité une solution de facilité. C’est vrai qu’il aurait été plus simple de contribuer au financement de l’agriculture locale. Mais, visiblement, l’enseigne apprécie les défis. Elle a alors enfilé sa tenue d’agricultrice/paysanne et s’est mise à travailler la terre.Elle gère tout de A à Z, de la préparation du sol à la vente en circuit court, en passant par l’irrigation des cultures. Pour ce faire, elle s’est entourée d’agriculteurs locaux. Dernier point, et non des moins, c’est une agriculture raisonnée, respectueuse de la nature et de l’environnement, qui est déployée au sein du Potager de Sardar Biglari.